Palatine
PALATINE - Jane Jane
‘Jane Jane' // Extrait de l'EP 'Talismanie'
Disponible ici : https://lnk.to/Palatine_JaneJane
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Réalisation et Animation par Vincent Ehrhart Devay
Décors par Vincent Ehrhart Devay et Antoine Birot
Produit par Palatine / Yotanka Records / Garde Fou
Avec le soutien de la SPPF et de la Sacem
Palatine : Vincent Ehrhart Devay, Adrien Deygas, Thomas Milteau et Jean Baptiste Soulard.
PAROLES
Jane Jane
(Auteur: Vincent Ehrhart Devay)
A voir comme ils s’épuisent, à voir leurs entrejambes
Qui soudain s'amenuisent, à les voir comme ils tremblent.
Jane femme de guerre, cherche hommes médecines
Valeureux partenaires, mais dépourvus d'échine.
Si belle calamité, douce Jane d’arc en ciel.
On dépose à tes pieds, des litres de miel.
On se met à hurler se frappant la poitrine,
On se met à prier archanges et Mélusine.
Jane Jane, calamité de toi! Que passe-t-il à ton doigt?
Qui est ce fou?
Jane Jane, calamité de nous! Que fait-il à ton cou?
Que fait-il là?
Jane regarde l'incendie d’un joli mois de mai
Qui dévore la prairie ou ce qui en restait
Un far west mirage, grotesque Buffalo Bill
Qui la force au mariage, elle qui vit loin des villes.
Je suis le peau rouge qui fait le mort, je vois de loin cette ruée vers l’or.
Jane! Jane! calamité de toi! Que passe-t-il à ton doigt? Qui est ce fou?
Jane! Jane! calamité de nous! Que fait-il à ton cou? Que fait-il là?
Jane! Jane! calamité de toi! Que fait-il à ton bras? Qui est ce fou?
Jane! Jane! calamité de nous! Que fait-il à ton cou? Que fait-il là?
Jane au parcours perclus de calamités. Jane, tes vertus exposées à travers la plaine.
Je les ai aperçues, et poursuivies de mes vengeances jusqu’en terres inconnues qui nous
resteront étranges.
Comme ces hautes chutes d’eau au fracas continu qui murmurent une
chanson déjà entendue.
Je perdrai la boussole à l’heure où le sol colle et que je n'entends plus que le silence que perce le son lointain d’une kermesse.
Là-bas ton nom résonne Jane!
Plus rien ne m’étonne Jane! Tes draps souillés par le vent d’Est, la poussière et les vieux
restes Jane! Toi qui parlais si doux, les deux pieds plantés dans la boue.
Jane Jane!
Regarde-moi!